De source sûre
Il paraîtrait, enfin non j'ai appris ça de source sûre, un magazine super sérieux, de type Grazia ou Envy, je ne sais plus trop lequel, que "les parties du cerveau activées par la douleur d'une personne plaquée, sont identiques à celles du cocaïnomane en manque"*. C'est pas une révélation de malade ça ? Quand je l'ai lue je me suis dit que je ne pouvais pas ne pas vous en informer (vous me suivez dans la double négation là ?)... Même qu'ils disent que du coup les symptômes qui s'en suivent sont les mêmes que les accros à la cocaïne :
- perte de goût à la vie,
- grosse déprime...
En ce qui me concerne ils pourraient ajouter "débalage et gavage de cochonneries en tout genre, tout ce qui me tombe (tombait) sous la main"... je parle d'activités postrupture hein pas de manque de cocaïne !!! Que de souvenirs atroces les ruptures, surtout celles de jeunesse, avant 30 ans je veux dire ... "Je vais mourir (avec la variante je VEUX mourir), je ne pourrais plus JAMAIS aimer, comment je vais faire pour RESPIRER, continuer à AVANCER, blablabla... Et pourtant on se relève, on retombe amoureux et on peut se re faire plaquer jusqu'au jour où on se fixe, ou pas d'ailleurs. Quand j'ai commencé ma relation avec chéri-chéri je lui ai dit "Alors je préfère te l'annoncer tout de suite : pas de vie commune, pas de mariage, pas d'enfant"... on a acheté la maison au bout d'un an de relation et Petit Loulou est arrivé 2 ans après... j'étais pourtant si sûre de moi quand je lui ai dit ...
Enfin voilà maintenant vous savez un truc super important, quand on se fait plaquer on en bave autant qu'un drogué en manque*... rassurant ça non ?
* Selon une étude de la Stony Brook University (New York)
Petite pensée du jour : et si je faisais un concours ? Oui mais est ce que ça intéresse vraiment quelqu'un ? Et puis pour faire gagner quoi ? J'ai zéro sponsor moi, je suis toute petite... Mais j'ai vraiment envie de vous faire jouer et gagner des choses... Qu'on s'amuse un peu ensemble, et puis je me dis que vous le méritez... faut vraiment que je réflechisse...